Présentation de l'Ange de Sang

Moi:Je m'appelle Sébastien, et j'ai découvert le fofo grâce à... Zut, c'est quoi, déjà, son pseudo? Bon, bref, grâce à un membre, quoi... J'étais déjà présent sur l'ancien fofo (l'ancêtre de celui-ci, en quelque sorte ^^), une fois sous le nom de Silvergun, une autre sous celui d'Hikaru Kuragari. Je n'étais pas très actif, mais je compte bien me rattraper!
J'aime les jeux vidéos (surtout les rpg!) et l'ordinateur, ainsi que le badminton. Voilà, c'est tout sur moi, maintenant, voyons un peu mon perso...

Nom: Yggdrasil (C’est le nom du chêne qui, dans la mythologie nordique, soutient les mondes et sert de lieu de réunion aux dieux.)

Prénom: Sephiroth (Mot à l’origine féminin venant de la Kabale et signifiant chiffre ou émanation. Il est aussi, bien entendu, le nom du grand méchant de Final Fantasy VII)

Age: 30 ans.

Métier: Cuisinier.

Arme: Un katana dont la lame mesure 3 mètres, nommé Masamune.

Fruit du Démon: Ketsueki Ketsueki Fruit, le Logia du Sang…

Description physique:

Sephiroth est grand, car il mesure deux mètres (et un centimètre, même si je ne pense pas qu’il soit utile de le préciser). Il a un visage plutôt fin, de longs cheveux blanc gris, et des sourcils fins.
Ses yeux sont assez étonnants: ils sont verts, très profonds, mais ils brillent d’une lueur démentielle incroyable: pour quiconque ne le connaît pas et croise son regard, Sephiroth est un fou. Mais cela peut aussi être utile: si il regarde quelque un avec une faible force morale dans les yeux, alors Sephiroth peut le paralyser de terreur à la vue d’un regard si effrayant. Un cœur moyennement fort sera stupéfait mais reprendra ses esprits, plus ou moins vite, et un cœur fort sera surpris durant un millième de seconde. Mais, en combat, c’est déjà trop.
Sephiroth est bien bâti, avec des muscles puissants, mais pas une montagne de muscles, de testostérone et de dopants comme certaines personnes… Il est fin, élancé, et souple. Il porte généralement une tunique de cuir ouverte sur la poitrine, avec des épaulettes, et qui descend environ jusqu'au milieu des mollets.
Dernier détail, Sephiroth est gaucher, ce qui ne l'empêche pas d'être très habile de la main droite, mais cette particularité peut surprendre certains adversaires.

Description morale:

Contrairement à ce que laisse suggérer son regard de fou, Sephiroth est un homme parfaitement sensé, qui réfléchit toujours avant d’attaquer, et qui aime la justice (tant qu’elle lui permet d’exercer la piraterie). Il a un grand sens de l’humour, et peut dire des choses totalement incongrues par rapport à la situation. Il adore par-dessus tout les clémentines, et, s’il n’en mange pas trois ou quatre le matin, il est de tellement mauvaise humeur qu’il peut vous tailler en pièces au moindre mot.
Il est très cultivé, car, durant son enfance, ses parents lui ont donné le goût du savoir, et, encore aujourd’hui, il s’intéresse à tout. Il aime lire et écrire, et rédige chaque soir un journal où il raconte toutes ses aventures dans le but de le faire publier après sa mort. Il sait bien retranscrire ses émotions, et le peu de personnes qui l’ont déjà lu assurent que ce livre sera un grand succès malgré la censure certaine que la Marine lui accordera.
Il respecte toujours sa parole, même s’il doit en pâtir. Ça ne l’a ne l’a pas toujours aidé, malheureusement, mais il arrive toujours à s’en sortir, grâce à sa rapidité d’esprit.
Lors d’un combat, il aime bien étudier la situation dans l’urgence et sortir LE coup gagnant au dernier moment. Grâce aux multiples ressources que lui confère son Fruit du Démon, il sait utiliser toutes les faiblesses de l’ennemi, et, parfois, a recours à la psychologie pour déstabiliser son adversaire.
Sephiroth sait apprécier la beauté, sous ses différentes formes, du paysage montagnard au coffre à trésor rempli de Berrys… Il est assez doué en dessin, mais ne dessine jamais, donc, ce petit talent est assez inutile. Par contre, il sait très bien cuisiner, malgré le fait que tous ses plats soient à base de clémentines… Il ne sait pas si les gens aiment le rôti de clémentines, puisqu’il n’en a jamais fait que pour lui. Le gratin de clémentines est un de ses plats favoris, mais pour lui, le met suprême est encore et toujours la clémentine pure et simple, bien mûre et sucrée.

Histoire:

Je suis né il y a 100 ans, sur une île toute petite, minuscule, tellement insignifiante que personne ne la connaît mis à part ceux qui y habitent. Et Dieu sait qu’ils ne sont pas nombreux. Tout au plus cinquante habitants. Mais quels habitants… Des gens généreux, souriants, drôles, avec un cœur gros comme ça, et très forts… Il faut dire que, là-bas, tous les six mois, un grand tournoi est organisé, et tout le monde s’entraîne au maniement de son arme favorite pour tenter sa chance! Même les enfants participent, dans une catégorie à eux. Alors, au niveau combat, les gens de là-bas, je peux vous dire qu’ils sont rodés! Je n’ai pas échappé à la règle: dès mes trois ans, je me suis entraîné pour gagner ce tournoi.

Mon père, Hojo, m’aidait beaucoup. Il avait autrefois gagné le Tournoi, et il maniait à la perfection une grande épée avec une lame de trois mètre: Masamune. Dès le début, j’ai eu pour cette arme un profond respect, comme si elle avait une âme et un cœur. Je passai de longues heures assit là, devant elle, à la contempler, à la regarder briller à la lumière du soleil qui passait par la fenêtre, puis je reprenais mon épée en bois que mon père avait taillée pour moi, dans les mêmes dimensions que Masamune mais en réduit, pour que je puisse la manier correctement. Je passai des heures à m’entraîner, suant, soufflant, mais toujours partant pour une nouvelle volée de coups sur le mannequin en bois qui me servait d’adversaire.

A l’âge de six ans, je maniait parfaitement l’épée en bois; mon père décida donc de me faire utiliser Masamune. Mais elle était encore bien trop longue, et également bien plus lourde que mon arme précédente, car en métal. Au début, je n’arrivai même pas à la soulever, c’est vous dire… Mais je décidai de me mettre à la musculation, pour pouvoir au moins la soulever. A l’âge de huit ans, j’y parvenais enfin. J’essayait de donner des coups dans le vide, mais à chaque fois, je perdait l’équilibre et m’étalait par terre, ce qui faisait bien rire mes parents. Mais je n’en démordait pas, et, à dix ans, j’arrivai enfin à ne pas tomber. Je commençai l’entraînement.

Je ne parvint à manier Masamune qu’à l’âge de vingt ans, dix ans après, donc. C’est vous dire si c’était difficile… Ce fut pour moi le plus grand bonheur de ma vie… Malheureusement, le plus grand malheur vint juste après: mes parents moururent de maladie. Je me retrouvai seul. Tous les habitants de l’île cherchèrent à me réconforter, à m’accueillir chez eux, à me protéger; mais je n’avait même plus envie de compagnie. J’étais jeune, et mon besoin d’aventures se faisait de plus en plus fort. Je décidai donc de partir. Ce fut vite fait: je volai une barque, et m’enfuit, emportant Masamune.

Ne connaissant rien à la navigation, je me laissai porter par les courants, et finit par arriver sur le continent: East Blue. Là, je me débrouillai du mieux que je pu, mais la ville était régentée par une bande de pirates sanguinaires, brutaux, violents, etc, etc… Je ne pu donc pas manger à ma faim, et, un jour que je me traînait, mourant, dans une ruelle, j’aperçu, dans une poubelle, une clémentine. Je me précipitait et la mangeai, ou plutôt la dévorai. Cela me revigora et me donna la force de décider de partir. Ce que je fis dès le lendemain.

Je prit la route et voyageai en me nourrissant de fruits sauvages. J’arrivai finalement à une ville nommée Twilight Town. C’était une ville très tranquille, bien régentée par l’amiral Lecter, un homme bon et juste. Or, on disait qu’un colis très important devait arriver la semaine suivante, destiné à l’amiral et à lui seul. Ma curiosité fut piquée au plus haut point, et je décidai de m’introduire dans le QG de la Marine locale pour voir ce colis de mes propres yeux.
La veille de l’arrivée du paquet, je me faufilai parmi la foule de gens venus demander, comme toujours, des conseils à l’amiral. A la fin de la journée, je reparti pas comme tout le monde, mais restai caché dans un sombre recoin. J’y passai la nuit.
Le lendemain, je fus réveillé par un grand brouhaha: le paquet venait d’arriver. Il fut transporté dans une pièce à part, et laissé sous la surveillance de deux Marines. Je me glissai discrètement derrière eux, et les assommai de deux coups bien placés de la poignée de Masamune. Puis je les cachai dans un placard, et entrai dans la pièce.

Le paquet était là. Je m’en approchai, et, fébrilement, déchirai le carton qui tomba au sol et me laissa voir… Une clémentine. Une simple clémentine. D’un geste rageur, je donnai un coup de pied dans la table. Pourquoi l’amiral prenait-il autant de précautions pour une simple clémentine? J’avais risqué ma vie pour rien! Nouveau coup de pied. Bah, puisque j’en était là, autant la manger, cette clémentine! Je le fit avec rage, et l’avalai d’un coup. Et en plus, elle était dé-gou-tante! Raaaah, vous en donnerai, moi, du colis secret! Coup de pied. Furieux, je quittai la salle, et tombai sur les deux gardes, bien réveillés.

Le premier m’attaqua, pointe du sabre en avant. Je dégainai Masamune, déviai sa lame, et l’assommai. Le deuxième me sauta dessus, mais je l’évitai et lui donnai un coup de poignée dans la nuque. Il s’écroula. Je n’avais aucune blessure, mais le bruit avait ameuté tout le camp, et, dans ma fuite, je me retrouvai soudain coincé par une dizaine de Marines. J’eu peur, et, alors que l’un d’eux me sautai dessus, je souhaitai que si cette clémentine avait quelque chose de spécial, qu’elle m’aide!

Le sabre me transperça. J’eu peur. Je ne senti rien.

L’autre était surpris aussi. Il retira sa lame: elle était couverte de sang. Je regardait mon abdomen, là où il m’avait percé. Il n’y avait rien d’autre qu’une déchirure de ma tunique. Le Marine repris ses esprits et recommença à m’attaquer. Je ne sentais toujours rien. Les autres s’y mirent aussi. Rien. J’étais invincible.

Un par un, je les tuai. J’entendis quelqu’un hurler derrière moi: « Arrêtez-le! Il a mangé le Ketsueki Ketsueki fruit! » Ce fut alors que je compris. La clémentine était l’un des Fruits du Démon! Et je l’avais mangé! Et ce nom… Je possédai le Fruit du Sang!

Je pris la fuite, et passai plusieurs années à m’entraîner à maîtriser mes pouvoirs. J’y parvint, et, au bout de plusieurs années, décidai de devenir pirate, pour de bon. Je commencai donc ma grande aventure.

Ne vous inquiétez pas, je vais vous la raconter. Mais je vais le faire avec ceux qui y ont participé…

Objectif: Devenir un grand pirate!

Salut sebastien^^
Bienvenue, je suppose que t'as pas encore fini ta presentation comme il manque le poste rp^^

Post rp? Y'a un post rp?

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Aaaaaaaaaaaaaah ouéééééééééééé! Nan parce que la dernière fois que je suis venu pour voir, il n'y avait pas encore d'exemple de présent'... Ou alors j'ai pas vu... Bref, je fais ça le plus vite possible! Et je vais rajouter mon poste: médecin (spécialisé dans les clémentines, bien sûr ^^)

Allez j'attend la suite et ça saute! Twisted Evil

non je rigole^^
Bon courage. Moi je fini ma présentation ce week end

L'ensemble est bien mais il y a pour moi deux petites détails.

- Rallonge un peu ta description Mental, elle est très importante pour bien comprendre ton personnage.

- Tu as écrit au début de ton histoire, je suis né il y a 100 ans, pas logique scratch

Marchand Messages : 23 Date d'inscription : 31/12/2007 Age : 29

Bon presque tout est correcte sauf quelques points dont celui que je trouve important:

Tu n'as pas respecté le modèle de présentation, ce n'est pas le même que l'ancien^^

Je te souhaite bonne chance pour la suite de ta fiche.

Nan c'est Sephiroth a 100 ans qui raconte son histoire ^^ Il est vieux, et il raconte sa vie à quelqu'un qu'on imagine être ses petits-enfants!

Ah, de ce point de vue, pas de problème. La description mentale à rallonger et ton Post-RP et c'est bon.

Marchand Messages : 23 Date d'inscription : 31/12/2007 Age : 29

Il faut aussi que tu signe les règles, est-ce un oublie ou tu ne les a pas lus?? scratch

Après les modification demandé normalement tu auras tes "oui".

Je te resouhaite bonne chance!

Post rp:

Sephiroth en avait marre. Cela faisait des heures qu’il attendait. Pourtant, le chef de la base avait bien dit dix heures… Mais il était déjà quinze heures et le convoi ne se montrait toujours pas. En plus, le stock de clémentines commençait à s’épuiser. Bon, encore une heure, et il partirait. Il ne fallait pas non plus perdre trop de temps, car le temps c’est de l’argent, et l’argent, c’est des clémentines. Il en éplucha d’ailleurs une, et l’avala d’un coup. Gloups. Il fallait bien ça pour passer le temps. Mais le pire, c’était qu’il faisait chaud. Très chaud. Affreusement chaud. Et les clémentines, ça ne rafraîchit pas. Mais bon, il fallait s’y accommoder: la caravane transportait, selon les dires du chef, une jolie somme.

Nouvelle clémentine. La dernière: du bruit se faisait entendre sur la route, derrière les arbres. Sephiroth, tout content de passer enfin à l’action, se leva immédiatement et se planta au milieu de la route, en faisant des exercices d’étirement: la longue attente l’avait un peu rouillé. Quand la caravane arriva, il était encore là, et les Marines qui gardaient le convoi lui demandèrent poliment de f***** le camp, sinon ils lui ficheraient leurs sabres là où ils pensaient. Ils étaient, comme on peut le constater, passablement énervés. Sephiroth ne répondit pas tout de suite. Il se contenta de rester planté là, en riant intérieurement: les Marines n’avaient pas encore remarqué la taille du sabre qu’il portait à la ceinture, car il était de face.

« Allez, bouge de là! On va pas te le dire dix fois! »

Sephiroth se mit de profil, et regarda leur expression à la vue de la lame de trois mètres. C’était à se tordre de rire: ils commencèrent par ouvrir grand les yeux, puis firent un « o » avec leur bouche en laissant la langue pendre, et enfin, en se rendant compte de la stupidité de leur état, la refermèrent, mais sans succès. Elle retombait à chaque fois, et à chaque fois ils recommençaient ce qui leur donnait l’air de poissons hors de l’eau. Imaginez. C’étaient des marines stupides.
Sephiroth passa à l’action: il regarda celui qui semblait le chef dans les yeux, et celui-ci fut pris d’une terreur telle à la vue de ce regard de fou qu’il en fut paralysé. Mais, comme il ne bougeait pas beaucoup en temps normal, les autres ne le remarquèrent pas.
Sephiroth agit de même pour tous les autres Marines. C’était quasiment trop facile: ces soldats étaient des paresseux qui ne faisaient plus leurs entraînement depuis des années et qui ne pensaient plus qu’à la retraite. Sephiroth décida de ne pas les assassiner: il avait horreur de tuer pour rien.
Il se contenta donc de passer entre les corps figés de peur, et dont seuls les yeux bougeaient pour atteindre la caravane. En fait, c’était plutôt un carrosse; un carrosse en bois, certes, mais un carrosse tout de même. Au moment de l’atteindre, Sephiroth entendit à l’intérieur un voix qui grognait:

« Bon, alors, qu’est-ce qu’ils font? C’est déjà assez long comme ça… »

Sephiroth reconnut dans cette voix l’âme d’un guerrier, et devina que l’homme avait envie de se battre. Mais il n’était pas seul: une autre voix, féminine, celle-ci, lui répondit:

« Allons, chéri, ne te met pas dans tous tes états… Il n’y a sûrement qu’un tronc d’arbre tombé sur la route, ils vont déblayer ça vite fait…

- Mouais… Faudrait que ça soit vraiment vite fait, parce que j’ai vraiment envie de me défouler, là… »

Sephiroth décida de s’amuser un peu et dit d’une voix forte et intelligible:

« Le tronc d’arbre a immobilisé tous vos gardes sans les toucher, alors vous feriez bien de venir vous-même! »

Silence. Puis un remue-ménage dans le carrosse, et un homme d’une quarantaine d’années en sortit. Il était grand, bien bâti, et portait un sabre dans le dos. Les cheveux déjà grisonnants, le teint rouge, il s’avança vers Sephiroth avec un air supérieur mais ravi de se défouler.

« Je m’appelle Hannibal, et je suis le deuxième soldat le plus fort de la région. Si tu veux me faire obstacle, ce sera à tes dépends.

- Amusant…

- C’est tout ce que tu trouve à dire?

- Oui. Que veux-tu que j’ajoute?

- Je ne sais pas, que tu es impressionné…

- T’as un ego surdimensionné, toi…

- Quoi? Je ne sais pas ce qui me retient de…

- Mais, ne te gênes surtout pas… »

Là-dessus, les deux hommes tirèrent leurs armes et coururent l’un vers l’autre. Hannibal était très impressionné par la taille de l’épée de Sephiroth; mais il ne le montrait pas du tout. Sephiroth, quand à lui, considérait ce combat comme habituel; il devait bientôt être arraché à ses illusions…

Les deux sabres s’entrechoquèrent, et le fracas métallique retentit dans toute la forêt. Dès cet instant, chacun des deux protagonistes sut qu’il avait trouvé un adversaire à sa taille. Ils se repoussèrent mutuellement, et prirent appui sur le sol pour à nouveau charger, épée en avant. Nouveau fracas. Cette fois, il continuèrent le duel au corps à corps, et enchaînèrent des dizaines de coups qui firent s’envoler les oiseaux des sous-bois. Sephiroth donna un large coup sur sa droite, mais Hannibal le para. Il continua sur un coup à gauche. Même résultat. Il sauta en salto avant pour atterrir derrière Hannibal et lui asséner un coup par derrière. Mais l’autre sauta en avant et esquiva le coup malgré la longueur de la lame de Masamune. Il se remit face à Sephiroth et celui-ci se dit que le combat promettait d’être dur. Mais il n’avait pas de temps à perdre. Il décida donc de dévoiler ses pouvoirs.
Alors qu’Hannibal courait vers lui, il concentra dans sa main droite (car, ne l’oublions pas, il tenait l’arme dans la main gauche) une boule de sang, et la lança sur son adversaire. Surpris, il la reçut en pleine tête. Théoriquement, une boule de sang ne fait pas mal, mais celle-ci était si compacte et était lancée si fort qu’elle le projeta en arrière et le fit s’abattre sur un arbre, assommé. Sephiroth avait vaincu le deuxième soldat marine de la région.

Alors qu’il rangeait son sabre, la dame qu’il avait entendu auparavant sortit du carrosse. Elle avait également la quarantaine, comme son mari, mais elle avait gardé toutes les caractéristiques de ses vingt ans, et était donc d’une beauté exceptionnelle. Son petit air mesquin et son nez retroussé lui donnaient un air arrogant qui serait du goût de la plupart des hommes, et sa taille fine lui conférait un charme supplémentaire. Elle semblait inoffensive, mais Sephiroth voyait bien à ses muscles fins qu’elle était une guerrière puissante. Elle inspecta les alentours d’un œil distrait, mais, quand elle vit son mari assommé, elle se précipita vers lui. Elle lui tapota la joue, le secoua un peu, et, quand elle vit qu’il était bien assommé, elle se tourna vers Sephiroth, et son regard brillait d’une rage infinie, bien qu’elle ne trembla pas. Elle ouvrit la bouche, et son ton était parfaitement posé lorsqu’elle dit:

« Tu as fait du mal à mon mari.

- Je n’en voulais qu’à votre argent. Si vous me l’aviez donné, je l’aurai laissé tranquille.

- Tu es un bandit.

- Un pirate, Madame, bien que nous soyons ici assez loin de la mer.

- Tu vas mourir. Hannibal t’as bien dit qu’il était le deuxième soldat le plus fort de la région? Et bien, je suis la première.

- Et vous m’en voyez ravi. »

Là-dessus, ils bondirent l’un vers l’autre, et, alors que Sephiroth assénait un coup de sabre, la femme sortit de l’un des bracelets qu’elle portait au poignet droit une chaînette d’argent, très fine mais incroyablement solide. Elle en entoura la lame de Masamune, et, se servant d’elle comme d’un levier, l’arracha des mains de son propriétaire. L’épée vola au loin, et alla se planter dans un arbre voisin. Sephiroth n’essaya même pas de la récupérer: il savait que, devant la technique de la femme, son sabre serait inefficace.

« Tu te rend? Sans arme, tu vas perdre.

- Ça, ça m’étonnerai… »

Sephiroth concentra de nouveau en son poing une boule de sang alors que la femme courait vers lui, et la lui lança dessus. Mais elle était plus forte que son mari, et elle l’évita, mais avec beaucoup de difficultés, si bien qu’elle fut déséquilibrée, et Sephiroth en profita pour lui envoyer une seconde boule de sang. Elle la rata , parce que la femme était habituée à ce genre de manœuvres et réagissait toujours de la même façon: il lui suffisait de relâcher tous ses muscles d’un coup, et elle tombait, laissant le projectile passer au-dessus d’elle. C’était bien plus rapide que de se baisser de soi-même. Mais elle ne se borna pas à cette esquive: elle se servit de son appui pour sauter au visage de son adversaire et tenter de lui donner un coup de chaîne. Elle n’y parvint pas: son ennemi avait disparu.
Surprise, elle regarda autour d’elle: rien. Par réflexe, elle regarda en l’air: rien. Alors, une idée saugrenue lui vint à l’esprit: peut-être que son adversaire était dans le sol? Impossible, elle avit vu son Fruit du Démon: il était liquide, et, par définition, un fruit liquide ne se conjugue pas avec le sol, à moins qu’il n’y ait des fissures, ce qui n’était pas le cas. Elle regarda tout de même; tout l’espace autours d’elle était couvert de sang séché. Il formait un grand cercle là où le pirate s’était tenu, et une longue traînée en partait pour se perdre parmi les arbres, où elle se répandait parmi les feuilles. Elle devinait ce qui s’était passé: le pirate s’était transformé en sang et avait coulé vers les sous-bois pour réfléchir à une tactique. Et elle avait raison.
Adossé contre un arbre, Sephiroth réfléchissait en mangeant une clémentine. Attaquer cette femme de face ne ferait que le mettre dans une situation difficile. Il fallait donc l’attaquer de dos; pour cela, il pouvait se répandre sur le sol et se matérialiser derrière elle; mais il avait été obligé de dévoiler sa technique pour esquiver son dernier coup; elle était donc prévenue. Non, il fallait autre chose. Réfléchir. Réfléchir. Réfléchir. Mais, pour que Sephiroth puisse réfléchir, il lui fallait des clémentines; il en sortit donc une nouvelle de sa poche.
Première clémentine: pas d’idée. Deuxième clémentine: un début de solution. Troisième clémentine: solution trouvée. Quatrième clémentine: détails fignolés. Cinquième clémentine: le courage d’y aller. Sephiroth se répandit à terre, et coula vers la route où se trouvait le carrosse. Théoriquement, il ne pouvait pas grimper les obstacles sous cette forme; mais son côté humain lui permettait de sauter les obstacles, même sous sa forme de sang. De plus, c’était plus rapide qu’à pied, et plus discret.
Quand il arriva en bordure de la route, il aperçut la femme penchée sur son mari, qui s’était réveillé. Il lui disait:

« Fait attention, mon amour, il a un Fruit du démon… Et tu as vu comment il a paralysé tous les soldats du regard… Un regard de fou…

- Ne t’inquiète pas, Hannibal, je vais le battre.

- Fait tout de même attention, Rensa… »

Sephiroth coula derrière elle, et se matérialisa. Hannibal eut un sursaut, et Rensa se retourna vivement avec un air féroce. Mais Sephiroth s’empressa de la calmer.

« Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas pour habitude d’attaquer les gens par derrière, surtout lorsqu’ils prennent soin de leur mari.

- Vous… Vous… Vous êtes un monstre!

- Quoi? Je ne fait que ce que fait tout pirate qui se respecte! Mais trêve de bavardages inutiles; reprenons le combat, voulez-vous bien? »

Rensa acquiesça du chef et les deux adversaires se remirent au milieu de la route. Sephiroth savait qu’il devait agir rapidement, et la plus grande partie de son plan reposait sur sa position par rapport à Masamune, toujours plantée dans un arbre. Il s’était placé de manière à ce qu’elle forme une droite avec Rensa et lui. Parfait. Il passa à l’action.
Prenant appui, il courut vers Rensa comme pour lui asséner un coup de poing. Elle fit de même en sortant sa chaîne. Mais, au moment de la rencontre, Sephiroth sauta par-dessus son adversaire, et, emporté par son élan, fonça droit vers Masamune. Rensa fut déséquilibrée par son coup manqué, et, lorsque Sephiroth arracha son arme de l’arbre et la lança vers elle, elle ne put pas l’éviter totalement. Elle eut une coupure sur le bras gauche. C’était tout ce dont Sephiroth avait besoin.
Il continua dans sa lancée, et courut vers elle pour lui donner un coup de poing, avec la main gauche, car il était gaucher. Elle emprisonna son bras dans sa chaîne, mais c’était précisément ce que le pirate voulait; il posa sa main droite sur la coupure.

A ce moment, Rensa sentit que le combat était perdu: ses forces la quittaient. Sephiroth absorbait son sang par sa blessure, et tenait fermement la chaîne de la main gauche; elle ne pouvait donc pas s’échapper. Les ténèbres obscurcirent sa vue. Elle s’évanouit.
Sephiroth cessa la Transfusion Sanguine à temps pour que Rensa ne meure pas: sont mari reprenait ses esprits, mais n’était pas encore capable de tenir debout après le choc. Le pirate s’approcha du carrosse, entra à l’intérieur et en ressortit une minute plus tard avec un coffret très lourd, sûrement rempli de Berrys. Il était content. Il déposa sur le sol, à côté de Rensa, une dizaine de clémentines, pour qu’elle regagne le sang perdu. Puis il s’approcha d’Hannibal qui tenait avec difficultés sur ses jambes, et lui dit:

« Quand tu arrivera à la base Marine, dit-leur que tu as été attaqué par Sephiroth, l’Ange de Sang. Ça fera forte impression, je pense… »

Là-dessus, il ramassa Masamune, se transforma en sang et coula à travers les arbres.

Voilà mon post rp! Et j'ai aussi ralongé ma description morale et rajouté mon métier!

Marchand Messages : 23 Date d'inscription : 31/12/2007 Age : 29

Il y a encore trois points très gênant:

_tu na pas signé les règles

_tu n'as pas suivis le modèle de présentation

_ta description physique est trop courte.

As tu lu les règles ?!

Pour moi ça sera parfait apres ces modifications.

Règles signées.

Modèle reproduit (c'est moins précis mais au moins tu ne me tannera plus avec ça).

Descrpition physique rallongée.

C'est bon, là?

C'est bon, pour ma part tu es accepté, ton niveau est suffisant également pour ton fruit du démon. Attend la validation d'un autre admin et c'est bon.

Oki merci!

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Tu as ton 2 éme "Oui" :D

YIHAAAAAAAA!!!

Oulà, on se calme... **Prend une clémentine et la mange** Merci à tous!